Avant de faire la promotion d’un médicament contre la dépression, les scientifiques s’assurent d’abord de l’absence d’effets secondaires graves, ou de tout autre effet secondaire grave ou peu fréquent, qui risquerait d’être associé à ce médicament.
Dans le cas de la maladie de Parkinson, c’est particulièrement le cas. Dans les années 1960, il a été découvert que les médicaments antiparkinsoniens pouvaient causer la maladie de Parkinson.
On savait déjà, en 1975, que le lithium pouvait causer de graves problèmes de santé.
À partir de 1980, le lithium s’est révélé responsable de plusieurs décès en Europe. Le lithium était prescrit pour le traitement de l’épilepsie. L’utilisation du lithium a été largement décriminalisée dans la plupart des pays occidentaux, et il est maintenant utilisé dans plusieurs autres parties du monde.
Aujourd’hui, il est prescrit pour plusieurs conditions, notamment la maladie de Parkinson, la dépression, la schizophrénie, l’autisme, les troubles bipolaires et les épisodes maniaques chez les personnes atteintes de trouble bipolaire.
Le lithium est souvent utilisé en association avec la thioridazine pour le traitement de la maladie de Parkinson. Les deux médicaments agissent de manière différente sur la transmission des signaux nerveux du cerveau, en stimulant les nerfs dans les parties du cerveau responsables de la pensée, de la parole et du mouvement.
Les deux médicaments ont des mécanismes d’action différents. La thioridazine ralentit la transmission de l’influx nerveux dans les neurones. Le lithium stimule les neurones à la fois en augmentant la transmission de l’influx nerveux et en augmentant les récepteurs à la surface des neurones.
Le lithium et la thioridazine ont tous deux des propriétés antiparkinsoniennes. Le lithium est mieux toléré, a des effets secondaires moins prononcés et est généralement plus facilement disponible que la thioridazine.
La thioridazine est également utilisée pour traiter l’épilepsie. Elle agit sur les neurones dans les régions du cerveau impliquées dans le mouvement et la pensée. Le lithium, quant à lui, stimule les neurones dans les régions du cerveau responsables de la pensée, de la parole et du mouvement.
Le lithium et la thioridazine sont des médicaments courants pour traiter la maladie de Parkinson. Il est préférable de discuter de ces traitements avec un médecin.
Des médicaments contre les troubles bipolaires sont également prescrits pour traiter la maladie de Parkinson. Les médicaments qui agissent sur les récepteurs à la surface des neurones dans les régions du cerveau responsables de la pensée, de la parole et du mouvement ont tendance à être plus efficaces que les médicaments qui stimulent les neurones dans les régions du cerveau responsables du mouvement.
Le lithium, la thioridazine et d’autres médicaments contre la maladie de Parkinson peuvent provoquer des effets secondaires graves. Ils peuvent également provoquer des effets secondaires légers, notamment de la somnolence et des nausées. Les effets secondaires graves comprennent des tremblements et des hallucinations.
Les effets secondaires légers comprennent des maux de tête, des douleurs musculaires, des crampes musculaires, de la fatigue et des palpitations.
Les effets secondaires graves peuvent inclure des convulsions, des troubles cardiovasculaires et une perte de conscience. Les effets secondaires graves peuvent affecter la fonction cérébrale et causer des problèmes de concentration. Les effets secondaires légers peuvent inclure de la somnolence et des douleurs musculaires.
Si vous prenez des médicaments contre la maladie de Parkinson ou d’autres troubles bipolaires, il est important de discuter de leur utilisation avec un médecin. Le traitement doit être adapté à chaque personne. Les médicaments peuvent avoir des effets secondaires différents. Il est important de déterminer quel médicament est le plus efficace pour vous.
Effets secondaires des antipsychotiques : Quels sont les effets secondaires ?
Les antipsychotiques sont des médicaments utilisés pour traiter les personnes souffrant de troubles psychotiques. Ils peuvent causer des effets secondaires graves, notamment des pensées suicidaires, des hallucinations et des délires.
Les antipsychotiques agissent en interférant avec les actions des neurones du cerveau. Ces neurones sont responsables de la pensée et de la perception. Les antipsychotiques peuvent également interférer avec la transmission des signaux entre les nerfs et les muscles.
Les antipsychotiques peuvent provoquer des effets secondaires graves, notamment des pensées suicidaires, des hallucinations et des délires. Il est important de savoir comment les prendre correctement et d’éviter de prendre trop ou trop peu d’antipsychotiques.
Les antipsychotiques peuvent causer des effets secondaires graves, notamment des pensées suicidaires, des hallucinations et des délires.
Il est important de savoir comment les prendre correctement et éviter de prendre trop ou trop peu d’antipsychotiques.